Moins flamboyant ou attiré par la gloire, moins doué pour le théâtre que son contemporain Lully, c’est dans le domaine de la musique religieuse que M.A. Charpentier a laissé ses plus belles pages. Il n’a jamais hésité à suivre son instinct et à mélanger la conception française de la musique avec le style vocal italien appris lors de sa formation. Conférence présentée par Raphaële Faure